Rapport sur la durabilité : analyse et progrès en matière de réduction des émissions de CO2

Dans le cadre de nos efforts continus en vue de réduire notre empreinte carbone, nous sommes heureux de partager notre analyse et les tendances que nous observons dans divers aspects de nos activités. Notre objectif initial était de parvenir à des émissions absolues de CO2 de 2 615 tonnes en 2025, soit une réduction de 24 % par rapport à 2019. Nous en sommes actuellement à 2 751 tonnes. Il nous reste donc deux ans pour diminuer notre empreinte de 136 tonnes supplémentaires.Dans le cadre de nos efforts continus en vue de réduire notre empreinte carbone, nous sommes heureux de partager notre analyse et les tendances que nous observons dans divers aspects de nos activités. Notre objectif initial était de parvenir à des émissions absolues de CO2 de 2 615 tonnes en 2025, soit une réduction de 24 % par rapport à 2019. Nous en sommes actuellement à 2 751 tonnes. Il nous reste donc deux ans pour diminuer notre empreinte de 136 tonnes supplémentaires.

Dans le cadre de nos efforts continus en vue de réduire notre empreinte carbone, nous sommes heureux de partager notre analyse et les tendances que nous observons dans divers aspects de nos activités. Notre objectif initial était de parvenir à des émissions absolues de CO2 de 2 615 tonnes en 2025, soit une réduction de 24 % par rapport à 2019. Nous en sommes actuellement à 2 751 tonnes. Il nous reste donc deux ans pour diminuer notre empreinte de 136 tonnes supplémentaires.

Une augmentation de 60 tonnes entre 2022 et 2023
L’évolution la plus importante dans nos chiffres entre 2022 et 2023 est une augmentation de 60 tonnes de nos émissions totales de CO2. Analysons cette hausse plus en détail:

 

Voitures de société: nous notons une baisse appréciable de 60 tonnes des émissions de CO2 de nos voitures de société. Avec la nouvelle baisse attendue en 2024 et 2025 et la commande de huit voitures électriques en 2023, nous prévoyons une baisse supplémentaire de 150 tonnes d’ici 2025.

Équipement, consommation de mazout sur les chantiers et dans les magasins: réduction de 30 tonnes, probablement liée à l’électrification croissante des chantiers. Cette tendance ne se poursuivra pas.

Électricité: augmentation de 170 tonnes exclusivement sur les chantiers, qui s’explique par leur électrification. Nous pensons que cette tendance devrait se poursuivre en raison de l’électrification croissante des chantiers et du parc de véhicules. 

Chauffage: une réduction de 30 tonnes attribuée à l’utilisation moins importante des installations au gaz dans la réalisation des projets.

Conclusion: l’augmentation de 60 tonnes de CO2 est principalement due à la consommation d’électricité sur les chantiers. Cela montre que l’utilisation économique de l’électricité sur les chantiers doit être l’une des principales ambitions si nous voulons continuer à réduire nos émissions. À côté de cela, l’électrification de notre parc de véhicules devrait assurer une baisse prometteuse dans les années à venir.

Conclusions et mesures pour l’avenir
Répartition des émissions : actuellement, 53 % de nos émissions sont imputables aux voitures, mais cette tendance va diminuer grâce à l’électrification avec une réduction attendue de 200 tonnes d’ici 2025 (8 %). Les émissions restent stables pour les équipements (18 %), l’électricité pourrait encore entraîner une diminution (22 %), tandis que les émissions dues au chauffage devraient baisser elles aussi.

Futures mesures : avec les mesures actuelles, nous prévoyons une réduction supplémentaire de ± 240 tonnes d’ici 2025, soit un total de 2 500 tonnes. Nous envisageons d’éventuels ajustements pour l’équipement et l’électricité.

Situation de la liste de mesures 2022, y compris les ajustements effectués
a. Électrification des chantiers : avec 88 % des chantiers raccordés à l’électricité d’ici à 2022, sans qu’aucun ajustement ne soit nécessaire, nous allons poursuivre nos efforts. 

b. Installation de minuteries : bien que l’installation ne se soit pas déroulée sans problème en 2023, nous explorons les possibilités d’une commande automatisée grâce à des minuteries afin de réaliser des économies d’énergie.

c. Suivi de la consommation d’énergie sur les chantiers : des ajustements sont nécessaires pour améliorer le suivi et l’intégration dans le contrôle budgétaire.

d. Production d’énergie verte sur les chantiers et dans les bureaux : arrêt temporaire de l’installation de panneaux photovoltaïques. Une autre approche est envisagée.

e. Électrification du parc de véhicules + budget mobilité : avec 43 % de voitures électriques d’ici 2025, nous révisons notre KPI initial de 70 %.

f. Révision de la politique de télétravail : aucun ajustement, la politique reste la même.

g. Roulottes de chantier écoénergétiques : le passage à des roulottes écoénergétiques en 2020 a donné des résultats positifs.

h. Éclairages LED sur les chantiers : aucun ajustement, toutes les nouvelles lampes sont des LED.

i. Électrification du parc de machines : aucune décision n’a été prise ; proposition de renforcer la formation interne sur la durabilité.

Cette analyse et ce rapport d’avancement témoignent de notre engagement en faveur d’un avenir plus durable. Nous continuons à nous concentrer sur des actions concrètes visant à réduire davantage nos émissions de CO2.